Nat m'a signalé l'année derniere que le palais de Yildiz était (enfin) ouvert... Ben ça n'a pas duré longtemps : 6 YTL de taxi (qui m'a bien évidemment trimballée d'abord au parc malgré des indications précises) pour encore trouver porte close, mais au bout de 4 fois, je commence a m'y faire !
Je profite de passer devant pour faire quelques vues de la mosquée de Yildiz, mais je renonce a l'intérieur : avec un foulard, c'est 10 degrés de plus garantis.
Mon sens de l'orientation étant toujours aussi défaillant (si, même avec un plan), me fait faire des kilometres pour trouver le pavillon des tilleuls. Ca grimpe sec, le soleil cogne et le matos est de plus en plus lourd. A l'entrée de Dunya Baris parki, pas le temps de franchir les 5 m qui me séparent des bancs a l'ombre : juste celui de m'asseoir adossée a un muret en attendant que le malaise se dissipe. J'ai évité le pire de peu : tomber dans les pommes et finir asphyxiée par une foule de Turcs compatissante mais compacte !
Evidemment, au pavillon des tilleuls le café est fermé. Entrée 3 YTL, droits photo 6 YTL... no comment !
Le pavillon rokoko est minuscule. L'intérieur est sombre et seules les pieces du 1er étage sont ouvertes. Entrée, wc, salle d'écriture et de musique et petit salon de réception : aucun intérêt. Pour ceux qui ne tiennent pas absolument aux photos, un coup d'oeil par la grille d'entrée suffit largement.
A Besiktas, un aigle salvateur m'annonce que je vais enfin pouvoir manger : ouf ! Kebab-bulgur-salade (bon), coca et nes : 11 YTL.
Taxi pour rentrer, je suis trop HS pour chercher le bon bus, j'ai des courses a faire avant mon rendez-vous de ce soir, et je rêve d'une douche fraîche et d'un tee shirt propre !
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