Balade dans le coin assez rapide, tout est à portée de main : change, eau, clopes... des Kurdes nous croisent en s'expliquant mutuellement que nous sommes Joan (jeunes et jolies), pas du tout embarrassés quand ils se rendent compte que nous avons compris leur conversation.
La recherche d'un taxi est plus problèmatique : nous sommes les seules assez chtarbées pour prétendre bouger aux heures les plus chaudes !
Des jeunes commercants du coin nous proposent un cousin et nous emmènent au rendez-vous en voiture (60.000 dinars pour Koya Sandjak). Le chauffeur un peu rebarbatif se déride en cours de route et nous dépose au Koya Palace (33.000 dinars) avant d'aller faire un tour en ville près du bazar.
Les commercants sont comme d'hab étonnés mais ravis, même si tout le monde se demande ce qu'on peut bien faire ici et ce qu'il y a à photographier. Il y en a même un qui m'envoie un bisou, profitant de l'abri d'une petite rue !
Resto à 3 : 25.000 dinars... Le niveau de vie de la zone UPK est visiblement nettement inférieur à celui de la zone PDK. C'est évident pour les habitations, le prix des hôtels et des resto et encore plus au nombre d'enfants qui travaillent dans les rues.
Le chauffeur fait demi-tour dans une rue, ce qui nous vaut immédiatement un arrêt contrôle de la police qui tient a nous emmener au poste. On a bien un papier du GRK expliquant ce qu'on fait ici (d'ailleurs absolument pas indispensable), mais on n'a pas LEUR papier à eux.
Finalement, on passe de bureau en bureau, accompagné d'une foule de jeune policiers grandissante et enchantée de l'attraction, pour la préparation d'un papier énumerant tout ce que je peux photographier : bazar, rues, maisons, mosquées, gens, marguerites... mais il faudra venir le recupérer demain à 9 h quand ils auront retrouvé le bon tampon.
En attendant, on se prend un sprite dans le jardin de l'hôtel avant d'aller dans son resto : avec le Merlot, 52.000 dinars.
... Puis séance photo avec les gardes qui en laissent tomber leurs mitraillettes !
Retour dans la chambre où le réceptionniste nous aide à trouver le câble Internet avant de nous rassurer parce que ca ne marche pas : "C'est normal, nous n'avons pas Internet..." !
bonne continuation les nanas !
RépondreSupprimerNat
Les "nanas" sont de retour à Paris.C'est terminé les vacances!
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