Avant de partir, j'ai fait un tour dans les boutiques d'Istiklal : dommage que je ne sois pas très fringues, il y a des affaires à faire déjà ici, alors dans les autres quartiers... Puis retournée au Galatea, où malgré l'affluence ils avaient réservé ma table - vu que j'avais vaguement promis de repasser - avant d'aller acheter un stock de noisettes pour l'avion : en ce moment, elles sont à peine mures, juste comme je les préfère.
A l'aéroport, les cigarettes en duty free sont plus chères qu'en ville : ils affichent les prix en €... et reconvertissent en lires en comptant un taux de change pas spécialement avantageux !
Dans l'avion, le blues qui est là par intermittence depuis 2 jours me reprend, devant Istanbul qui devient ville de poupées avant de disparaitre. C'est à chaque fois la même chose : j'ai un mal fou à partir ! Heureusement que cette fois, ce n'est pas pour trop longtemps...
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