La ville est grande, trop bruyante à mon goût, mais elle joue à fond la carte ottomane avec des monuments en excellent état।
La Gazi Orhan camii est sympa, mais toujours autant de circulation pas géniale pour les photos। Quitte à prendre un bain de foule, les bazars feront l'affaire : kapali çarsi, uzun çarsi, tuz çarsi...
Un tour à Yigit köhne camii avant d'aller au musée qui a l'air très intéressant, mais qui est évidemment fermé। Quelques photos à travers la grille, recharge du 500 SI et direction yesil cami (en fait blanche et non verte comme le suggère son nom ) et le célèbre yesil turbe (en fait bleu et non vert).
Un bruit sec et mou à la foi m'arrête : quelle nulle ! J'ai laissé le numérique sur mon sac photo en bandoulière pour recharger l'argentique et j'ai oublié de remettre la sangle à l'épaule... et mon nouveau joujou a fait un plongeon et atterri sur le bitume।
Le drame ! Un sélecteur sérieusement amoché et l'électronique en a pris un coup et me refuse toute collaboration...
Dej (iskender, coca, nes : 14 millions) dans un resto près des yesil, pendant lequel je tente de démonter l'appareil : impossible ! Malgré mes tournevis miniatures, c'est fou le nombre de vis que les ingénieurs sadiques de Minolta ont plantées dans le boîtier... j'abandonne, mais je n'ai plus le coeur de photographier।
Quelques photos quand même, mais sans conviction : 2 appareils HS en 48 h, ça fait un peu beaucoup et ça ne va pas être simple de terminer avec le seul qui soit encore intact. Je ne suis pas superstitieuse, mais j'ai du mal à me débarrasser de l'idée "pas deux sans trois"...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire